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Contact-Artistes

VIP-Blog de contact-enjoydancemusic-artistes
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  • Créé le : 17/09/2006 15:35
    Modifié : 17/09/2006 16:51

    Garçon (16 ans)
    Origine : Lille metropole
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    Master Of Sciences

    17/09/2006 16:37

    Master Of Sciences


    (juin 2005)

     

    Télécharge le titre Power Rock ou la sonnerie en exclu !

     

    MASTER OF SCIENCES se sont à la fois des DJ’s, producteurs et musiciens. Tournant beaucoup dans les clubs en Belgique, ils sont reconnus pour tous les titres techno qu'ils réalisent sur le label DOGGY RECORDS.

    « Power rock » est leur deuxième opus avec des ventes imports dans le monde entier. « Power Rock » est déjà un hit club dans le nord de la France et sud de la Belgique.

     

    Ce titre, mâtiné de son électro mixé sur une rythmique house devient très vite un titre fédérateur des clubs Belges et Hollandais. A l’arrivée du guimick synthé, c’est une piste en délire…

     

    Le nouveau son de Master of sciences rappel celui de Chicago des années 90, Master of Sciences arrive en France et deviendra sans aucun doute l’un des titres fort du printemps 2005.






    Matti Schawartz

    17/09/2006 16:39

    Matti Schawartz


    (16 septembre 2005)

     

     

     

     

     

    Qui est The Drill ? Pourquoi ce nom ?

     

    Quand j’étais en train de composer le titre, je faisais une boucle au synthé et pendant un petit moment, j’avais l’impression que ça perçait dans ma tête donc j’ai fait un break en regardant MTV. A l’écran, il y avait la vidéo de Benny Benassi avec les femmes toutes mouillées en train de percer et c’est alors que je me suis dit que The Drill était un titre parfait pour ce disque.

     

    Peux tu nous expliquer le concept du clip et nous dire pourquoi l’acteur principal est un cheval ?

     

    Je déteste copier les autres, je préfère toujours faire les choses à ma façon et je ne voulais pas d’une vidéo avec des filles à poil ou quelqu’un qui coure (avec ou sans valise) ce qui est la plupart du temps attendu dans un clip de Dance. Le metteur en scène Nima écouta le disque plus de 300 fois et c’est dans un moment de désespoir qu’il eu cette idée que j’ai tout de suite aimée dès la première trame ; Pansy me fit délirer et je me suis dit : Pourquoi ne pas donner sa chance à un cheval ?

     

    Qui est Pansy ?

     

    J’ai promis de garder son identité secrète pour le moment.

     

    Quand tu joues en clubs, est-ce que tu joues avec un masque de cheval ?

     

    Ca dépend si le club est à la campagne !

     

    Tu es anglais et nous ne te connaissions pas avant. Peux-tu nous en dire plus sur toi, comment tu as commencé et combien de temps il t’a fallu pour faire ³the Drill² ?

     

    Je suis né en Israel et je suis arrivé à Londres en 1993. J’ai joué du violon jusqu’à l’age de 14 ans et.. j’ai découvert les filles, le Rock et la musique Electro. J’ai joué de la gratte, de la basse, du synthé et de la batterie. Ensuite, j’ai bossé dans une salle d’enregistrement afin d’aider les groupes à mettre en place le son ce qui fût ma première expérience coté production.

    J’étais impatient donc j’ai appris à jouer beaucoup d’instrument juste pour être capable d’expliquer aux autres musiciens ce que je voulais dire quand je leur demandais de jouer quelque chose de précis en studio mais j’ai fini par jouer presque tous les instruments sur un grand nombre de disques que j’ai produit. Bien que j’aime travailler avec des bons musiciens, je suis très honnête : si quelqu’un joue quelque chose qui rend mieux que moi, je serai le premier à le reconnaître car quand on produit un disque, la fin justifie les moyens.

    J’ai découvert la Dance Music à la fin des années 80, début 90 et Londres était le lieu le plus propice à la Dance. J’ai commencé à programmer des productions et à mixer pour pas mal de djs comme Arthur Baker, Tall Paul et pas mal d’autres...

    Un jour en 1996, Massive Attack appelle et demande si moi et Sara J (mon ex avec qui je travaillais à cette époque) pouvions écrire des chansons pour eux et nous avons fait des choses sur « Mezzanine » qui finirent sur la BO de « Matrix » et changèrent notre vie…

    Ensuite, j’ai commencé à bosser avec mon propre matos et plus tard Destined Records commença en 1999/2000 avec M'black ' daydream' et les choses continuèrent tranquillement.
    Vous pouvez consulter ma bio et discographie sur mon site. (cf dernière question)

    J’ai mis 6h à faire The Drill, j’ai pris 3 passages du titre et j’ai improvisé dans « Pro tools » (logiciel de son)


    Quelles sont tes influences ?

     

    J’aime Nirvana, Pink Floyd, Massive Attack, The Police et la plupart des styles de House. J’ai aimé la Drum & Bass mais ça m’a lassé et j’ai arrêté de développer ce style.


    Qu’est ce que tu écoutes chez toi ? Peux-tu me donner des titres de ta playlist ?

     

    J’aime bien Push your body – “Lou Lou players remix” , Welcome - “Serial smokers remix” car ils possèdent différents styles (electro funk et tribal).
    Il y a aussi Antartica qui sera bientôt dans les bacs (dans quelques mois)
    J’écoute aussi du Rock somme les System of a Down, Foo Fighters en ce moment… Mais chaque semaine, je vais vers autre chose…


    As-tu prévu des dates en France ?

     

    Je pense que je reviendrai mi octobre.


    As-tu un site web ?

     

    Oui, plusieurs qui sont : www.destined-records.com ou www.thedrill.co.uk ou www.mattischwartz.com






    M.Pokora

    17/09/2006 16:42

    M.Pokora


    02 février 2006)

     

    Voici quelques photos du direct au Network avec Happy & Fax

     

    Gaelle et M. Pokora

     

    M. Pokora & Ursula

    Biographie de M. Pokora

     

    « Fallait pas me sous-estimer / J’suis pas là pour figurer » assène De retour, cinglant premier single tiré de ‘Player’, nouvel album de M.Pokora.
    A tout ceux tentés de ne voir dans le triomphe (650 000 disques vendus) de son premier opus ‘M. Pokora’ et sa brochette de tubes ‘Showbiz (The Battle)’, ‘Elle me contrôle’ et ‘Pas sans toi’, qu’un one-shot manufacturé, le tatoué le plus sexy du R&B français répond par une rafale de bombes prêtes à squatter les cœurs et les ondes.

     

    Avec ce félin blond, de tout juste 20 ans, la France tient peut-être son premier entertainer, ce type d’artiste complet jusque-là envié aux Américains. Chanteur-danseur-auteur-compositeur, M.Pokora grandit en s’inspirant du professionnalisme en vigueur outre-Atlantique, sans renier l’insouciance de sa jeunesse.


    Pas un hasard si le gamin de Strasbourg ne se remit jamais tout à fait de la claque Michael Jackson. Avec l’album Bad, découvert à 7 ans, Matthieu pouvait s’émerveiller de la polyvalence du « King of pop », Fred Astaire de la génération funk, chanteur d’exception, capable de transcender les frontières des genres.


    En autodidacte, cet excellent footballeur se met à la danse avant son dixième anniversaire, au chant à 12 ans, avant de s’essayer à l’écriture et à la compo quatre ans plus tard. D’abord fan de Rap français (initié aussi au rock par son frère), Pokora se passionne vite pour la scène hip hop et R&B américaine, déterminante pour son obsession du divertissement novateur, du sex appeal à grand spectacle.


    Des expériences de groupes (Mic’Unity, puis les Linkup « popstarisés ») compléteront la formation de cette bête de scène et de travail. Depuis l’émancipation de Robbie Williams et de Justin Timberlake (auquel on a souvent comparé M.Pokora), on sait qu’on peut prendre au sérieux les fortes personnalités en rupture des boys band. ‘Player’ prouve qu’en prenant les choses en main, Matthieu dispose d’atouts majeurs.
    Dans le choix de ses fournisseurs de sons, le jeune Français s’est adressé d’abord à ceux capables de booster sa production au niveau d’invention et de puissance des plus grosses pointures US. Le toujours complice DJ E.Rise, mais aussi les Belges de Bionix, Chyns de l’écurie Royal Wear, Dalvin, les Suédois de D-Town et même le groupe néo-métal Le son des anges ont su s’adapter à la diversité revendiquée de M.Pokora.


    Car au-delà de sa quête de sons affûtés, le jeune homme a cherché à varier les plaisirs. Bien sûr, les filles restent les muses principales des stars du R&B, mais il existe tant de façons de les séduire. Matthieu sait les provoquer ‘STP’, les allumer en douceur la ballade ‘Cynthia’ou à coups de reins up-tempo un ‘Cette Fille’ très Neptunes/Timbaland, le dancehall mélodieux de ‘Oh la la la (Sexy Miss)’, featuring le Jamaïcain Red Rat, dans la lignée d’Elle me contrôle, mais aussi ronronner en matou romantique dans Ce soir je lui dit tout, sur le thème de la frustration amoureuse.


    Plus grave, ce garçon pudique peut prendre le temps d’écrire une lettre surprise à sa mère ‘Regarde maman’, ou de réfléchir à la violence des hommes la ballade métallique ‘Mal de guerre’. Mais rien n’inspire autant ce danseur virtuose bientôt en tournée que le bonheur de vivre et de se divertir. En joueur racé, en « Player », sachant ne pas se prendre au sérieux.

     







    Mylo

    17/09/2006 16:43



    novembre 2004)

     

     

     

    Tu es écossais et nous ne te connaissions pas avant « Drop the Pressure ». Peux-tu nous dire comment tu as débuté et combien de temps tu as mis pour sortir « Destroy Rock & Roll » ?

     

    J’ai commencé la production en été 2001 quand j’ai quitté l’Ecosse pour Los Angeles… J’ai toujours voulu faire des disques mais je n’avais pas d’argent pour acheter du matériel et peu de temps pour m’investir. J’ai donc décidé d’abandonner tout ce que je faisais auparavant pour me concentrer uniquement à l’apprentissage de la production. J’ai bossé sur l’album environs 2 ans car j’avais déjà terminé des titres présents sur « Destroy Rock & Roll » début 2002 et pour d’autres, j’ai fini fin 2004.

     

    “Destroy Rock & Roll” est ton 1er album et sortira en France le 15 novembre. Peux-tu nous le décrire ?

     

    Je dirai que l’album est très « POP » … C’est un album à écouter quand on fait le ménage, ou dans le salon ou même dans son bain.

     

    Sur Contact, nous connaissons le titre « Drop the Pressure » qui est un hit en club. Est-ce que les chansons de l’albums ressemblent à ce titre ?

     

    « Drop the Pressure » est une des chansons les plus orientée « club » de l’album… Et probablement la plus rapide. Pas mal de titres sur l’album sont plus « Downtempo » et plus basés sur le sampling.

     

    Quelles sont tes influences ?

     

    C’est difficile à dire… Pas mal de magasines disent : Royksopp / Air / Daft Punk / Les Rythmes Digitales / Prince. Je suis assez d’accord avec ses relations… J’ai grandi en écoutant de tout allant Bob Dylan à Jeff Mills ; je ne comprends pas les gens qui n’écoutent qu’1 type de musique.

     

    J’ai lu qu’en live tu utilisais des instruments. Peux-tu m’en dire plus ?

     

    Durant de nos lives, nous sommes 3 sur scène. Je joue du synthé et de la gratte, un autre mec joue de la basse et le 3ème du Synthé, de la gratte et du « MPC » (une sorte de sampler/batterie Electronique). Il faut ajouter à cela une projection live visuelle de « The Pantom », le directeur artistique du label.

     


    Tu joues à la « I Love Techno » de Gent (BEL) avec les artistes et djs les plus connus de la planète (PRODIGY, CARL COX, FELIX DA HOUSECAT, IVAN SMAGGHE…). Les as-tu déjà rencontré ?

     

    Je n’ai jamais rencontré les Prodigy ou Carl Cox. J’ai rencontré Felix plusieurs fois car nous partagions la même salle lors les conférences de presses à Londres pour la sortie de nos albums au mois de mai. Il partait avant moi et tout le monde partait quand il quittait la salle ! J’ai aussi rencontré Ivan Smagghe quelques fois en club mais j’étais trop saoul pour avoir une discussion constructive avec lui. Je suis un grand fan de Blackstrobe et de sa façon de mixer.

     

    As-tu été booké pour jouer à Ibiza cet été ?


    J’ai découvert Ibiza pour la première fois cet été pendant 5 jours au mois d’Août. J’ai fait 2 lives et 3 DJ sets. C’était le chaos absolu et je me suis éclaté. Mon meilleur souvenir reste la terrasse du Space où j’ai mixé de 10h du mat à 2h de l’après midi un mardi. Je n’était plus vraiment capable de mixer mais ça n’a pas vraiment dérangé le club !
    Nous avons eu des demandes pour faire des fêtes privées las bas mais nous avions notre tournée en Grande Bretagne tout le mois de septembre.

     

    Qu’est-ce que tu écoutes chez toi ? Peux tu me donner 3 titres ?

     

    A la maison, C’est ma période « Italo-disco » en ce moment. 3 titres : "Ikeya Seki" de Kano, "Walking in the Neon" de Peter Richard et... "I wanna be your lover" de La Bionda..

     

    En plus de produire un album, tu fais des remixes. Est-il vrai que Kylie Minogue et The Killers t’ont demandé de remixer certains de leurs titres ?

     

    Le remix de Kylie est terminé. C’était une chanson pop assez douce faite avec les Scissor Sisters que j’ai tourné en titre Acid assez bizarre. J’ai presque fini de remixer "Somebody told me" de the Killers mais je n’en dirai pas plus car nous avons des problèmes avec leur label pour en avoir fait la pub trop tôt.

     

    Sais-tu que Elton John a dit dans la presse anglaise qu’il écoutait ton album tous les jours ?

     

    Je ne savais pas qu’il l’écoutait tous les jours. Si c’est vrai, c’est incroyable ! J’ai donc une dette envers lui pour tout le soutien qu’il me donne

     

    As-tu un site web ?

     

    Je vais sortir le site de Mylo quand j’aurai le temps. Pour l’instant, on peut trouver des infos sur le site de mon label : www.breastfed.tv






    Paul Oakenfold

    17/09/2006 16:48

    Paul Oakenfold


    (30 juin 2006)

     

     

    A Lively Mind est le deuxième projet artistique solo de Paul Oakenfold et son premier sur EMI.
    Auparavant, Paul a bien entendu sorti une myriade d’albums de remixes et d’autres projets dans lesquels il a pu exprimer sa fibre artistique.
    Rappelons en effet que Paul Oakenfold a été pendant longtemps l’une des personnalités les plus importantes – si ce n’est la plus importante – de la culture club. Même ceux qui ne s’intéressent pas trop à la culture DJ ou à la musique connaissent le nom de Paul Oakenfold et ce qu’il représente. Quant à ceux qui pensent ne pas connaître la musique de Paul, ils l’ont en fait certainement entendue plus d’une fois, ne serait-ce que par le biais de sa présence à la radio et à la télévision dans des publicités pour des grandes marques telles que Coca-Cola ,Toyota, Motorola et Saab – toutes diffusées en 2005, sans oublier ses contributions à des films à succès comme Opération Espadon (dont il a signé la bande son), Matrix 2, Matrix Reloaded et Collateral de Michael Man ainsi que le thème de Big Brother – dont il est l’auteur En fait, lorsque Paul, le DJ superstar, s’est produit à guichets fermés dans le cadre du Hollywood Bowl il y a deux ans, d’aucuns y ont vu la preuve absolue de l’avènement de la ‘dance culture’ aux Etats-Unis – comme un courant musical aussi fort que n’importe quel autre sur la scène pop actuelle.
    Cependant, lorsqu’il travaille en tant que DJ et/ou remixeur et qu’il sort des CDs de remixes (qui lui ont valu une nomination aux Grammy Awards), Paul n’exprime pas pleinement sa créativité musicale.

    A Lively Mind réunit en revanche 12 nouvelles chansons composées et crées par ses soins. Ce projet, fruit de son amour et sa passion pour la musique, qui était en cours de réalisation depuis trois ans, succède à Bunkka, son premier album solo à part entière vendu à plus d’un million d’exemplaires dans le monde et certifié disque d’or au Royaume-Uni en 2002.
    "Dans le domaine de la création artistique, je suis comme un nourrisson, sevré et prêt à s’épanouir," déclare Paul en riant. "Je suis toujours convaincu que dans mon univers musical, qui a toujours été dominé par des instrumentaux, les chansons sont le moyen d’évoluer. Mais trouver de bonnes chansons, ça prend du temps. Surtout que, naturellement, je passais de ce projet à des musiques de films et des remixes avant d’y revenir lorsque j’étais inspiré. Certains titres ont été retravaillés à plusieurs reprises jusqu’à ce que je me sente à l’aise avec.”


    "En plus, parallèlement aux 12 titres qui figurent sur ce disque, j’en avais enregistré quelques autres. Je n’ai pas tout gardé systématiquement. Parfois je suis revenu à plusieurs reprises sur des morceaux jusqu’à ce je sois content du résultat".


    Mais, comme il le reconnaît lui-même, Paul Oakenfold n’est pas un chanteur. Dans Bunkka, il avait fait appel à des invités comme Perry Farrell, Ice Cube, Tricky, Nelly Furtado et – dans ce qui s’avèrera être son dernier enregistrement - Dr. Hunter S. Thompson. Dans A Lively Mind, il continue à faire appel à des voix atypiques. "Faster Kill Pussycat", le titre qui ouvre l’album et qui en sera le premier single, est peut-être le morceau le plus original et le plus étonnant pour ce qui est de l’invitée.
    La chanson – qui a démarré sous la forme d’un titre rock et a été co-écrite par Kelly Dayton de Sneaker Pimps – évoque désormais un titre de Madonna, alors qu’elle était jeune et au sommet de sa forme – et est admirablement interprétée par... Brittany Murphy. Oui, il s’agit bien de la fameuse Brittany Murphy… Celle qui interprète la petite amie d’Eminem dans 8 Mile ou la femme fatale dans Sin City. L’actrice devenue diva a été recommandée à Paul par un ami commun - Oakenfold tient d’ailleurs à préciser qu’il ne connaît absolument pas le film culte de Russ Meyer, Faster, Pussycat, Kill Kill.


    "Je cherchais un style et un feeling différent et quelque chose d’original," explique-t’il. "Je savais qu’il me fallait une chanteuse, je ne voulais pas de quelqu’un de connu, mais une personne venant d’un univers complètement différent du mien. Finalement, le cinéma s’est avéré le milieu idéal pour mener mes recherches car j’y passais aussi de plus en plus de temps. Mais surtout il me fallait quelqu’un qui sache vraiment chanter et c’était le cas de Brittany Murphy."
    C’est encore le monde du cinéma – ou du moins d’Hollywood – qui a influencé l’un des autres titres phares de l’album réalisé cette fois avec la participation du célèbre Pharrell Williams. Ce titre, qui s’inspire des quatre années de résidence de Paul à Los Angeles, s’intitule "Sex 'N Money."
    "En fait j’avais eu cette idée au moment de mon premier album, mais je ne l’ai pas gardée, parce que c’était trop hip-hop pour l’époque et que j’avais déjà suffisamment de titres dans cette veine," explique Paul. "Je l’ai donc laissé en suspens et suis retombé dessus un jour en cherchant des vieux morceaux. Les allusions au sexe et à l’argent dans les paroles me plaisent et je pense que de toute façon c’est encore plus pertinent aujourd’hui.

     

     

     

     






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