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Contact-Artistes

VIP-Blog de contact-enjoydancemusic-artistes
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  • Créé le : 17/09/2006 15:35
    Modifié : 17/09/2006 16:51

    Garçon (16 ans)
    Origine : Lille metropole
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    Juliet

    17/09/2006 16:32

    Juliet


    Site web : www.emi-artistes.com/juliet/

     

    (30 janvier 2005)

     

     

     

     

    L’auteure-compositrice-interprète Juliet Richardson (alias Juliet) est une star en puissance, relativement novice dans le métier mais néanmoins déterminée à ne pas être une pin-up pop-rock de plus. Avec Random Order, son premier album prometteur, cette surprenante jeune fille de 25 ans s’apprête à rentrer dans la cour des grands.


    Bien que ses chansons, sa voix et son attitude s’inscrivent dans la lignée de d’icônes pop séminales telles que Debbie Harry, Joan Jett et Annie Lennox, ou encore de rebelles pop comme Bjork et Gwen Stefani, Juliet sort indéniablement des sentiers battus.


    " Je me laisse guider par mes envies" confie la jeune femme, qui a énormément appris au travers de ses expériences au sein de la formation pop rock, 1 Plus 1. Malgré un petit succès en 2000 avec la sortie commerciale de leur reprise du hit emblématique des Runaways, ‘Cherry Bomb’, Juliet, mal à l’aise dans ce rôle de chanteuse pop mielleuse, pousse le groupe à se rebeller.


    "Je n’ai jamais voulu être un visage ou un produit” explique-t’elle. “En signant un contrat, je n’avais pas conscience d’adhérer à cela. J’avais passé ma vie à faire ce que l’on me disait. J’avais 20 ans, mais pas la moindre idée de qui j’étais véritablement… Juste une vague notion de ce que je n’étais pas. Lorsque j’ai compris que j’allais devenir une pétasse pop fabriquée de plus, je me suis rasé la tête, j’ai commencé à hurler en noir au lieu de me trémousser en rose et c’est ainsi que MNQNN (Mannequin) est né. Elektra, ne sachant plus quoi faire de nous, nous a laissés partir.”


    Après deux années passées à écumer les clubs rock miteux avec MNQNN, Juliet décide de rentrer en contact avec l’ancien directeur artistique de 1 Plus 1, Josh Deutsch (désormais chez Virgin Records). Ce dernier la signe en tant qu’artiste solo et ensemble ils commencent à réunir une équipe pour réaliser son premier album. Après voir renoué avec son ancien collaborateur Steve Sidelynk, Juliet rencontre Stuart Price, alias le producteur ou plutôt remixeur/producteur Jacques Lu Cont des formations électro-pop Les Rhythmes Digitales et Zoot Woman, avec lequel elle accroche immédiatement. ‘Random Order’ commence à prendre forme.
    Parallèlement à Steve Sidelynk et Stuart Price, un impressionnant casting de pointures internationales est rassemblé autour de cet enregistrement, notamment le producteur / arrangeur Guy Sigsworth (Frou Frou, Bjork, Madonna) et l’ingénieur du son / remixeur Mark “Spike” Stent (Depeche Mode, Massive Attack, Pet Shop Boys, U2, No Doubt, Keane). Le fruit de ces collaborations est un puissant et efficace patchwork semi-autobiographique d’une intensité débordante et charismatique qui évoque les bras de fer entre sagesse et bêtise, vérité et affirmation qui hantent Juliet. “Je veux raconter de vraies histoires tirées de mes expériences. Il y a suffisamment de fiction dans le monde. Plus les gens sont sincères, plus ils sont intéressants. Pour ce disque, je me devais d’être sincère et franche, car c’est comme cela que l’on crée de vrais liens avec les gens.”


    Avec pour toile de fond des rythmes rock mâtinés de dance, ‘Random Order’ évoque une vague de visions bouleversantes que la voix mélancolique de Juliet, savant cocktail de sensualité et d’audace, rend irrésistible.


    Composé en toute spontanéité en deux semaines entre New York et Londres (suivies de séances d’enregistrements au légendaire Compass Point Studios de Chris Blackwell à Nassau aux Bahamas), cet album est un mélange de mélodies électro, dance, pop et rock évoquant la scène post-punk / new wave des années 80 agrémenté d’innovations musicales, étrangement simples et sophistiquées, à la fois nostalgiques et contemporaines.

    "Travailler avec Stuart a été une expérience géniale," confie-t’elle "Notre collaboration fonctionnait à merveille. En fait on écrivait une chanson par jour, sans trop réfléchir à ce que l’on faisait, sans nous fixer de règles, ni de limites, on essayait de fonctionner à l’instinct. Si mes premières références musicales sont religieuses, cet album reflète l’influence de mes tout premiers disques, que m’avait donné mon frère, comme 'Life In Mono' de Mono, ‘Grace’ de Jeff Buckley, 'Homework' de Daft Punk, 'Loveless’ de My Bloody Valentine, 'OK Computer' de Radiohead et 'Indescribable Wow' de Sam Phillips. C’était ce que j’écoutais lorsque j’avais tout juste une vingtaine d’années. Stuart a définitivement apporté sa propre touche personnelle, faisant de ce disque un collage éloquent de styles et de sons.”

    Chaque chanson de Random Order propose une description très évocatrice dans laquelle se mêlent désillusion, vagues histoires d’amour, extase, vérités, prises de conscience et affirmations de soi. Des titres comme le nostalgique “Avalon”, le nihiliste disco-punk “On The Dance Floor”, les méditatifs d’inspiration ‘Kraftwerk rencontre Nine Inch Nails’ “Neverland et “Ride The Pain” regorgent de basses palpitantes, de synthés pétillants très années 80, de sévères riffs de guitares et de beats endiablés.
    Les deux morceaux phares de l’album n’en demeurent pas moins “New Shoes” et “Would You Mind.” Le majestueux “New Shoes” est une ballade imparable co-écrite, arrangée et produite par Guy Sigsworth, dévoilant une Juliet des plus dépouillée et irrésistible, tandis que “Would You Mind” est une colère croissante soulignée par un groove pop crasseux et irrésistible révélant une chanteuse d’une rare ferveur et terriblement sûre d’elle.

     

    L’album s’achève sur un “Pot Of Gold” dépouillé et essentiellement acoustique. Une chanson poignante qui met en valeur une interprète d’une lucidité extrême, particulièrement inspirée et brillante de par la sagesse de ses propos : “It took a while for me to see what was going on…I found a way around me, there’s a pot of gold on the other side...only you decide…I just wanted you to know everything’s gonna be alright.” (Il m’a fallu un certain pour voir comment ça fonctionnait… J’ai trouvé un moyen pour m’en sortir, il y a des trésors de l’autre côté…A toi seul d’en décider… Je voulais juste que tu saches que tout va s’arranger)
    L’écriture et l’enregistrement des douze chansons qui composent cet opus ont définitivement été pour Juliet le fruit d’une longue catharsis. “Ce fut pour moi comme un camp d’entraînement,” se souvient Juliet. “C’est mon deuxième projet et le résultat de mon développement personnel et artistique. Le fait d’avoir l’opportunité d’être moi-même et de m’exprimer sincèrement a été libérateur et j’attendais ça depuis longtemps.”


    Chanteuse atypique et bourrée de talents, Juliet n’a rien de la sirène pop habituelle. Audacieuses, expérimentales, mais toujours d’une redoutable efficacité, les chansons de son futur album, "Random Order", ne manqueront pas de toucher le grand public. Comme le succès d’ "Avalon" semble l’indiquer, Juliet devrait séduire indifféremment auditeurs et nightclubbers.






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